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Défense Côte-d’Ivoire: Le 1ᵉʳ bataillon de paracommandos quittera Akouédo pour l’ex BIMA – Pourquoi les Français resteront dans le pays



La France gardera en permanence au moins une centaine de militaires en Côte-d’Ivoire, malgré la fermeture annoncée du 43e BIMA près de l’aéroport international d’Abidjan. Cette fermeture, comme nous avions été les tous premiers à l’annoncer au lendemain du discours du Chef de l’État, ne signifie donc pas le départ complet de tous les militaires français comme au Sénégal, au Burkina-Faso, au Niger, en Centrafrique, au Mali ou encore au Tchad.

Selon jeune Afrique, les autorités des deux pays n’ont pas souhaité un « démantèlement complet » de la présence militaire française. «Malgré quelques couacs [les forces armées] continueront à coopérer sur d’autres points tels que le renseignement et la lutte contre le terrorisme », indique le confrère.

Après sa rétrocession officielle, la base où s’entremêlent encore près de 500 militaires français et quelques centaines de leurs frères d’armes ivoiriens, sera occupée 1er par les paracommandos du 1erBataillon. Ces derniers sont encore logés dans l’ancien camp d’Akouédo [à votre droite en allant à Bingerville]. Quelques semaines ou mois plus tard suivront les étudiants et formateurs d’une académie militaire des systèmes d’information et de communication.

Les informations sont du CEMA ivoirien, le général de corps d’armée, Lassina Doumbia, qui s’exprimait récemment devant des journalistes.

Sylvie Kouamé








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